Parmi les dispositifs médicaux, les vaccins suscitent toujours des avis qui divergent en général sur leur fiabilité. Certains parents les montrent du doigt pour être à l’origine de certaines infections chez leurs enfants, d’autres suivent à la lettre toutes les prescriptions des pédiatres qui préconisent le recours à cette pratique médicale. Et avec toutes ces opinions, on est devenu sceptique sur leur sûreté.
Des vaccins obligatoires et ceux qui sont conseillés
Récemment, depuis le 1er janvier 2018, l’État, par le biais du ministère de la santé, a officialisé des textes qui stipulent l’obligation de faire 11 vaccins avec les 8 nouveaux qui s’ajoutent aux 3 autres.
Ces 8 nouveaux sérums d’immunisation, en plus des DDP, sont ceux contre la rougeole, contre les oreillons, contre la rubéole, contre l’hépatite B, contre la bactérie Haemophilus influenzae B, contre la coqueluche, contre le méningocoque C et contre le pneumocoque. En effet, on a noté une certaine recrudescence de ces infections dernièrement et les autorités ont jugé bon de prendre ces mesures.
Il y a également les vaccins recommandés qui sont informés sur des sites sur la santé infantile et il est plus raisonnable de consulter les pages. Des informations complètes ainsi que des questions-réponses qui sont traitées individuellement y sont accessibles et concernent particulièrement ces dispositifs médicaux, tous les points y sont traités : l’âge pour un tel vaccin, le corps médical habilité à procéder à cette intervention, le dispositif par rapport à la scolarité ou pour un voyage et autres articles intéressants et essentiels pour mieux comprendre la vaccination.
Effets secondaires ou non, parlons-en
Un des sujets qui font polémique ces derniers temps, la vaccination est au centre des discussions entre parents qui refusent de faire vacciner leur progéniture, les médecins qui tentent de les raisonner et de nouveaux dispositifs sur le marché.
Les effets secondaires des vaccins font l’objet d’une étude avant de mettre sur le marché ces dispositifs et avant d’être utilisés. Des études cliniques qui passent par plusieurs étapes et qui sont faites sur plusieurs sujets, adultes et enfants, garantissent la fiabilité de ces sérums.
Des essais faits sur ces sujets font l’objet d’analyses minutieuses. La détection du moindre effet indésirable remet en question la sûreté du dispositif.
Il existe des cas où un sujet est victime d’une maladie ou d’un accident, survenu juste avant ou juste après sa vaccination, mais cet incident ne constitue pas toutefois un effet secondaire reconnu pour le sérum en question.
Les rôles de l’industrie pharmaceutique
Les grands acteurs pour un vaccin sont les grands groupes pharmaceutiques qui conçoivent et distribuent les sérums.
Recherches, fabrications et commercialisations de ces sérums d’immunisation sont assurées par ces opérateurs pharmaceutiques.
Presque une vingtaine d’enseignes sont recensées dans le monde avec des chiffres d’affaires exorbitants qui font tourner leur entreprise.
Il faut dire que de nouvelles trouvailles sortent chaque année et ce, souvent pour déloger d’autres médicaments et sérums des rayons afin d’imposer d’autres. Un domaine qui requiert un grand investissement afin d’obtenir un brevet, après des recherches et des tests interminables, garantit la fiabilité de ses produits, même si des cas isolés nécessitent souvent des « remises en question », et la vaccination n’échappe pas à la règle.
Toutefois, il faut dire que, avant d’être mis sur le marché, ces préparations conçues pour apporter l’immunité, ont subi des études approfondies pour garantir leur fiabilité.